Dis-moi pourquoi tu me fuis
Je suis comme une ombre dans ta vie
Tu pars au loin Mais tu reviens
Chaque fois que j’t’oublie
Dis-moi pourquoi j’ai rien dit
Quand sur un coup de tête t’es partie
Comme ça sans faire de bruit
Femme ou sirène
Tu vis dans mes nuits tu fais la ronde
Et tu m’entraînes
Dans des labyrinthes du bout du monde
Tu m’perds et m’oublies
Loin d’ici
Et maintenant
Maintenant que j’ai purgé ma peine
Combien de temps
Couleras-tu encore dans mes veines
Combien d’heures et de jours
Pour me sevrer de ton amour
Dis-moi pourquoi tu me fuis
Je suis comme une ombre dans ta vie
Tu pars au loin
Mais tu reviens
Chaque fois que j’t’oublie
Dis-moi pourquoi j’ai rien dit
Quand sur un coup de tête t’es partie
Comme ça sans faire de bruit
Sans faire de bruit
Tout ceux
Tout ceux que je croyais mes amis
Ils m’ont
Ils m’ont tous laissé tomber
J’entends frapper
Enfin ma chance a tourné
Je suis heureux d’apprendre
Que tout n’est pas terminé
Rouler
Rouler il est encore temps de rouler
Personne
Personne ne peut m’arrêter
Plus loin
Plus loin toujours idée d’aller plus loin
C’est ma
C’est ma seule raison d’exister
J’entends frapper
Enfin ma chance a tourné
Je suis heureux d’apprendre
Que tout n’est pas terminé
J’entend frapper
Et je n’ai rien oublié
Ce n’est pas seulement la chance
Qui me fera gagner
J’entends frapper
Enfin ma chance a tourné
Je suis heureux d’apprendre
Que tout n’est pas terminé
J’entend frapper
Et je n’ai rien oublié
Ce n’est pas seulement la chance
Qui me fera gagner
Ce n’est pas seulement la chance
Qui me fera gagner
Ce n’est pas seulement la chance
Qui me fera gagner
Jean Johnny Johnny
Jean Johnny
Jean Johnny Hey
Promenait le bateau sur le bassin
Ramenait le bateau sur le quai
Quand Jean était plus grand
Il était intelligent
A l’école il parlait l’américain
Il voulait plus pêcher sur le bassin
Il voulait plus penser qu’a s’en aller
Quand Jean était plus grand
Il était intelligent
Il a voulu aller dans la Nouvelle-Orléans
Promenait les gens autour de quartier Français
Et ramener la calèche sur le quai
Jean Johnny Johnny
Jean Johnny
Jean Johnny Hey
Promenait le bateau sur le bassin
Ramenait le bateau sur le quai
Un jour le sabot de cheval
A tapé sur la tête à Jean
Jean il n’est plus intelligent
Il est retourné dans le pays des Cajuns
Promener le bateau sur le bassin
Jean Johnny Johnny
Jean Johnny
Jean Johnny Hey
Ta maman elle a beaucoup de chagrin
T’a plus l’air intelligent
Maintenant tu es grand
Mais ton Papa te prend la main
Pour aller pêcher sur le bassin
Jean Johnny Johnny
Jean Johnny
Jean Johnny Hey
Promenait le bateau sur le bassin
Ramenait le bateau sur le quai
Jean Johnny Johnny
Jean Johnny
Jean Johnny Hey
Jean Johnny Hey
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là dancer se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas :
« Tu peux compter sur moi. »
Laisse-là partir
Oublie le temps qui passe
Souviens-toi qu’à son âge
La vie est un beau grand voyage
Laisse-là partir
Mais dis-lui que tu l’aimes
Sans trop la retenir
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là danser se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas : « Tu peux compter sur moi. »
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là danser se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas : « Tu peux compter sur moi. »
Ma lady mon secret
Mon blues mon regret
Les mots sont à jamais
Envers et contre nous
J’ai pas su tout te dire
J’ai préféré souffrir
En parlant trop bas
J’te perds encore une fois
J’aurais aimé te dire tout ça
Ailleurs et dans tes bras
Mais tout bêtement comme si j’savais dire les choses
J’ai parlé à en perdre la voix
Merci pour tes silences
Merci pour tes sourires
Si aujourd’hui on a les mots qui manquent
On arrivera p’t être à les écrire
Ma lady mon secret
Mon blues mon regret
Les mots sont à jamais
Envers et contre nous
J’ai pas su tout te dire
J’ai préféré souffrir
En parlant trop bas
J’te perds encore malgré moi
Ma lady mon secret
Mon blues mon regret
Les mots sont à jamais
Envers et contre nous
J’ai pas su tout te dire
J’ai préféré souffrir
En parlant trop bas
J’t’ai perdue encore une fois
Quand mademoiselle vient chez moi
Elle redécore tout à son goût a chaque fois
Mais elle n’a pas de remords
Quand elle se trompe c’est encore et toujours moi qui ai tort
Tort, tort
She’s so fine
Miss Caprice aucun homme ne résiste
Miss Caprice joue les impératrices
Ah han
Ma miss caprice à moi
Mademoiselle aime les grands parfums
Elle les achète tous mais n’en porte qu’un
Mademoiselle fait son cinéma
A travers des histoires de cœur qui finissent pas
Mademoiselle aime les rendez-vous
Les chandelles et les grands hôtels mais malgré tout
Mademoiselle prend les grands détours
Quand on veut lui parler d’amour chacun attend son tour
Tour, tour
She’s so fine
Miss Caprice aucun homme ne résiste
Miss Caprice joue les impératrices
Ah han
Ma miss caprice à moi
Malgré tout je suis fou d’elle
J’suis sans défense quand elle sourit
She’s so fine
She’s so fine
Miss Caprice aucun homme ne résiste
Miss Caprice joue les impératrices
Ah han
Ma miss caprice à moi
Ma miss caprice à moi
Ma miss caprice à moi
Ma miss caprice à moi
Ma miss caprice à moi
Pour la joie pour la peine
On y pense tendrement
Et les souvenirs reviennent
Pour la joie pour la peine
On se retrouve en rêvant
Sur un vieux quai de la Seine
Ou du Saint-Laurent
Toi tu marches et tu y crois
Mais tes traces s’effacent derrière toi
Tu sais moi je passe
Tout près de là J’ai ta voix qui résonne
En moi à chaque pas
Pour la joie pour la peine
On y pense tendrement
Et les souvenirs reviennent
Pour la joie pour la peine
On se retrouve en rêvant
Sur un vieux quai de la Seine
Ou du Saint-Laurent
Par un beau matin j’ai quitté ma banlieue
Un peu plus loin un peu plus vieux
Loin du coeur loin des yeux
Hun, hun, hun
Hun, hun, hun
Yeah, yeah, yeah, yeah
Je suis un vagabond
Qui voit le monde
Sans jamais s’arrêter
Mes nuits sont toujours longues
Mais y’a des brunes des blondes
Qui m’aident à oublier
Mais un bon matin je quitté sa banlieue
Un peu plus loin un peu plus vieux
Loin du coeur et de ses yeux
Hun, hun, hun
Hun, hun, hun
Yeah, yeah, yeah, yeah
Hun, hun, hun
Hun, hun, hun
Yeah, yeah, yeah, yeah
Pour que le temps ne soit jamais pour moi
Qu’un long et lent chemin de croix
Je m’en vais droit devant pas a pas
Je suis un vagabond
Un peu caméléon
Qui va à tout hasard
Rien qu’un vagabond
Qui vagabonde
Avant qu’il soit trop tard
Moi de bon matin je quitte ta banlieue
Un peu plus loin et un peu plus vieux
Près du coeur, loin des yeux
Hun, hun, hun
Hun, hun, hun
Yeah, yeah, yeah, yeah
Tous ces sourires qui vont mourir bien avant l’âge
C’est l’avenir comme un navire qui fait naufrage
Dans son pays très loin d’ici
Pour tout ce temps perdu prêtons main-forte
Pour cet enfant et pour l’amour que tu lui portes
Cette chanson portera son cri
Na, na, na, na, na …
Nous on savoure le bleu du jour chaque seconde
Pour qu’il en soit de même à l’autre bout du monde
Faudra revoir nos théories
Ou que tu sois ne reste pas là immobile
Si tu y crois chante avec moi c’est si facile
Ta chanson portera ton cri
Na, na, na, na, na …
Si on voulait tendre la main à tous nos frères
Si ce refrain faisait demain un tour de terre
Celui-là chanterait aussi
Na, na, na, na, na …
Pour Marie-Anne
J’ouvrais mon âme sans gêne
Y’a si longtemps
J’avais vingt ans à peine
Dites-moi
Si j’ai le droit de vous livrer mon c?ur
Ces rêves en moi qui sont aussi les leurs
Ces jours de pluie et ces nuits de bonheur
Dites-moi
Si j’ai eu tort de les mettre en lumière
Puisqu’on n’peut jamais revenir en arrière
Mes souvenirs ce soir sont doux-amers
Pour Marilyn
Que j’imagine revoir
Dans son grand lit
Où j’ai dormir un soir
Pour Marie-Lou
Que j’aime à tout jamais
J’en ai trop dit
Et j’ai menti je sais
Dites-moi
Si j’ai le droit de vous livrer mon c?ur
Ces rêves en moi qui sont aussi les leurs
Ces jours de pluie et ces nuits de bonheur
Dites-moi
Si j’ai eu tort de les mettre en lumière
Puisqu’on n’peut jamais revenir en arrière
Mes souvenirs ce soir sont doux-amers
Dites-moi
Si j’ai eu tort de chanter leurs histoires
De prendre le droit de tout vous raconter
Ce soir
Si je m’ennuie du temps qui passe
Entre mers et vents du Nord
Dans ce pays de grands espaces
De neige et de fjords
Je reviens toujours encore
Je ne suis pas Californien
Mais je suis bien d’Amérique
Et j’ai gardé de tous les miens
La mémoire et la musique
Y’a des sourires dont on se lasse
Qui passent comme des météores
Mais y’a des liens que rien ne casse
Et qui restent forts
Nos racines sont nos trésors
Où que je sois dans le monde
Ces terres où je vagabonde
Et je dors A Paris, New York ou « L.A. »
Je suis et resterai Un « homme du Nord »
Je ne suis pas Californien
Mais je suis bien d’Amérique
Et j’ai gardé de tous les miens
La mémoire et la musique
Je ne suis pas Californien
Mais je suis bien d’Amérique
Et j’ai gardé de tous les miens
La mémoire et la musique
Je suis rentrée dans mon pays
Sans en avoir vraiment envie
De l’autre côté de la mer
J’ai laissé tout une vie derrière
Des gens qui m’appréciaient pour moi
Ce que je suis sans autre choix
Pas pour l’image que veulent donner
Ceux chez qui je viens de rentrer
Je crois que j’ai un gros problème
Fait d’amertume et de rengaines
On me supporte on me tolère
Et on me fait aussi le guerre
Là-bas j’avais la liberté
De pouvoir rire et m’exprimer
Alors pourquoi suis-je revenue
Je ne sais pas je ne sais plus
Je te confie mon désespoir
A toi qui viens et qui repart
Puisqu’une fille qui porte un jean
Sans fard ni comédie divine
Qui n’a pour elle que sa guitaire
Quelques vers où elle en a marre
Et bien c’est pas vraiment une femme
C’est n’importe quoi sauf une dame
Tu vois comment en considère
Celles qui refusent d’être vulgaires
De vivre le rôle d’un monde macho
Et qui le pensent et disent haut
L’an 2000 ce n’est pas si loin
Mais il ne reste tout ce chemin
Bref tout ça me rende tellement triste
Que je me sens presque féministe
Elles sont comment les filles chez-toi
Dans ton pays loin tout là-bas
Sont elles en peu respectueuses
Ou bien aussi lâches et hideuses
Je sais que tu n’répondras pas
D’ailleurs j’écrivais pas pour ça
Je voulais juste cracher ma haine
Face à un monde qui m’fait d’la peine
Il était un matelot
Qui pour gagner
Le cœur des filles
Leur promettait des jours plus beaux
Sous le ciel des Antilles
Bien vite elles lui rendaient les armes
Mais quand il repartait sur l´eau
Leurs larmes
Allaient grossir les flots
Ma mère chantait toujours, la la la
Une vieille chanson d´amour
Que je te chante à mon tour
Ma fille tu grandiras
Et puis tu t´en iras
Mais un beau jour
Tu te souviendras à ton tour
De cette chanson-là
Mais un beau jour le matelot
Fut tué d´un coup de couteau
Ensuite j´ai oublié les mots
Mais la fin je m´en souviens
Aussitôt qu´ils sont amoureux
Tous les hommes sont des matelots
Dans leurs yeux dansent des vagues bleues
Ma mère chantait toujours
Une vieille chanson d´amour
Que je te chante à mon tour
Ma fille tu grandiras
Et puis tu t´en iras
Mais un beau jour
Tu la chanteras à ton tour
En souvenir de moi
En souvenir de moi