De Saint-Vaast-lès-Mello jusqu’à Port d’Alon
A réparé les toits, a lavé les ponts
Et du tréport jusqu’à Vielle-Saint-Girons
En a laissé des amitiés
Et il repart …
Ses rêves et sa guitare
Y’a tant de choses à voir
D’autres mirages
Sous d’autres nuages
D’autres beaux yeux, de beaux visages
Et du Mont Pilat jusqu’en Armorique
Il vit de légendes et de musiques
Le cœur rempli d’Amérique
De ville en ville sur des chemins qui blessent
Au milieu des champs et du blé qui se berce
Si c’est le Rhône, il voit le Rio Grande
À toutes les bagarres c’est Dodge City
Et il repart …
En traînant sa guitare
Y’a trop de choses à voir
Faut tourner les pages
Comme ces gens du voyage
De Kerouac à Bob Dylan
Il vit de l’intro jusqu’au lexique
De vieilles photos et de musiques
La tête remplie d’Amérique
Et il repart …
En traînant sa guitare
Y’a trop de choses à voir
Faut tourner les pages
Comme ces gens du voyage
De Kerouac à Bob Dylan
Il vit de l’intro jusqu’au lexique
De vieilles photos et de musiques
La tête remplie d’Amérique
Même si bien des années de la grande route nous séparent.
C’est parfois conpliqué de s’cacher des regards.
J’arrive pas à me raisonner mon coeur ne veut pas écouter.
Même si je m’étais promis de ne plus recommencer,
Même si je m’étais juré c’était pour m’amuser.
C’était sans compter sur toi et tes sourires
Qui viennent me hanter quelques part dans le froid à contre courant.
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
J’aimais t’imaginer cent fois m’embrasser.
J’nous imagine marcher sur tes plaines enneigées et le long d’la rue st-Jean,
Ta main je l’ai glissée doucement dans la mienne, à mon coeur brûlant.
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
Je ferai l’inverse, 3 cafés noir, en béton armé
Et un million de pont enneigés Montréal-Québec.
On va se compter des tas d’histoires,
J’vais oublier mes idées noire.
J’vais pouvoir vivre, pouvoir y croire.
Il y’a le vent qui rallume ton parfum
Et mon désire aux creux de tes mains.
Et ton château princesse, qui tremble de ses remparts.
La distance qui nous sépare,
Je la ferai en deux heure moins quart,
J’arrive, j’suis là, je reste.
J’veux jamais que ça s’arrête Montréal-Québec,
Montréal-Québec
Montréal-Québec
C’était écrit Arizona
Sur les plaques des voitures qui s’arrêtaient parfois
Pour faire le plein
Au gaz bar près de chez moi
C’était écrit Oklahoma
Quand je l’ai entendu chanter pour la première fois
C’était crazy
L’Amérique dans cette voix
Quand je l’ai vu au bord du chemin
Belle comme un rêve, comme un rêve
Comme une star dans ma vie de rien
Au nord du rêve, au nord du rêve américain
California au Tennessee
Tous les jours je faisais le tour des États-Unis
Près des pompes à essence
L’Amérique en vacances donnait un sens à ma vie
Quand je l’ai vu au bord du chemin
Belle comme un rêve, comme un rêve
Comme une star dans ma vie de rien
Au nord du rêve, au nord du rêve américain
Du rêve américain
Carolina was my girl
Mon premier amour
Son visage est là dans mon coeur
Gravé pour toujours au nord du rêve américain
C’était écrit Carolina
Quand elle est descendue de l’auto de son papa
J’avais 13 ans
Et des rêves dans tous les états
Quand je l’ai vu au bord du chemin
Belle comme un rêve, comme un rêve
Comme une star dans ma vie de rien
Au nord du rêve, au nord du rêve américain
Au nord du rêve américain
Au nord du rêve américain
Je me souviens des chansons
Qui réchauffaient notre maison
Au pays de l’hiver
Décembre à mes yeux d’enfant
Etalait des peaux d’ours blancs
Sur Terre
En décembre mon coeur battait si fort
D’impatience, sous les lumières multicolores
Moi je prenais …
Je me souviens des chansons qui réchauffaient notre maison
Mon pays c’est l’hiver
Décembre parolesdeclip à mes yeux d’enfant
Etalait de beaux sentiments
Sur Terre
Depuis décembre a perdu la bataille
Rien n’est plus comme avant
Mon rêve blanc s’ennuie dans la grisaille
Et pourtant…
Je me souviens des chansons qui réchauffaient notre maison
Au pays de l’hiver
Décembre à mes yeux d’enfants,
Enveloppait de son drapeau blanc
La Terre
En décembre, quand tout est gris dehors
Je repense à mes bonheurs d’enfant du Nord
En décembre…
Mais où êtes vous mes petits loups?
Où que je vous prenne dans mes bras
Où êtes vous mes petits loups d’amour?
Où êtes vous mes petits loups?
Que faites vous là-bas si loin de moi?
Où êtes vous mes petits loups d’amour
qui courent?
Les p’tits loups le monde est cruel
Parfois mais surtout quand elles sont belles
Faut savoir donner, faut surtout pardonner
Ça donne des ailes…
Mes p’tits loups, c’est important
J’devais vous dire comment
J’me sens en dedans
Vous réchauffez mon cœur, à refaire notre bonheur…
Les p’tits, les grands
Mais où êtes vous mes petits loups?
Où que je vous prenne dans mes bras
Où êtes vous mes petits loups d’amour?
Où êtes vous mes petits loups?
Que faites vous là-bas si loin de moi?
Où êtes vous mes petits loups d’amour?
Papa accourt!
Je cours sans jamais m’arrêter
Tout autour de la terre
J’accours et toujours j’vous retrouverai
N’importe ou dans l’univers
Mais où êtes vous mes petits loups?
Où que je vous prenne dans mes bras
Où êtes vous mes petits loups câlins, coquins
Mais où êtes vous mes petits loups?
Que faites vous quand papa n’est pas là?
Où êtes vous mes petits loups d’amour, qui courent toujours?
J’ai perdu cent mille amours
À rouler ce camion
À changer de ville tous les jours
Beaucoup trop long
Entre les retours
Y’en a c’est la mer, moi c’est les autoroutes ?
Qui me font sentir libre
Comme rouler la nuit
Libre
Et tout ça me suffit
Pour bien vivre ma vie
Bien sûr y’a les copains
Des bandits de grand chemin
Que j’ai choisis
C’est pas facile tous les jours
De bouffer les kilomètres
Y’a des fois, ça devient lourd
Toujours me r’trouver
Seul dans ma tête
Y’en a c’est la mer, moi c’est les autoroutes ?
Qui me font sentir libre
Comme rouler la nuit
Libre
And that’s all I need
To stand and face
A brand new day
To take whatever comes my way
There’s a heaven that I never thought I’d see
Right in front of me
Qui me font sentir libre
Comme rouler la nuit
Libre
Et tout ça me suffit
Libre
Comme rouler la nuit
Libre
Et tout ça me suffit
Prends ton temps
Prends ton temps
Quand l’amour attend son heure, il n’en met pas de meilleur
Prends ton temps, sois patient
Tout arrive au bon endroit, au bon moment ?
Prends le temps de te tromper
Si pour savoir où aller
Tu te mets un peu en retard
Et si ça paraît trop long
Oublie le temps, les saisons
Fais confiance en moi
Et si la vie te déçoit
Dis-toi qu’il existe un autre choix ?
Prends ton temps
Prends ton temps
Quand l’amour attend son heure, il n’en met pas de meilleur
Prends ton temps, sois patient
Tout arrive au bon endroit, au bon moment ?
Prends le temps de vivre, prends le temps de respirer
Prends le temps de suivre une autre route que les gens
Prends tout ton temps, rien n’est si urgent
L’univers écoute et se met en suspend ?
Et quoi que ton c?ur n’ait pas
Dis-toi qu’un jour prochain tu l’auras ?
Prends ton temps
Prends ton temps
Quand l’amour attend son heure, il n’en met pas de meilleur
Prends ton temps, sois patient
Tout arrive au bon endroit, au bon moment
Et je vais m’étendre
Les yeux bien fermés
T’auras juste à me surprendre
Sans faire de bruit, m’embrasser
Tu te souviens l’herbe était haute et mouillée
C’était, je crois, le premier jour de l’été
C’est facile d’aimer quand on a 17 ans
Les pommiers gardent toujours les secrets
Rien à regretter quand on a 17 ans
Et un été, on se tend la durée longtemps
Je te fais le serment
Le jure sur l’été
J’aurai toujours 17 ans
Quand tu voudras m’embrasser
Et si jamais un jour
J’allais l’oublier
Emmène-moi faire un tour
En-dessous du grand pommier
On s’étendra dans l’herbe haute et mouillée
Et on regardera l’été arriver
C’est facile d’aimer quand on a 17 ans
Les pommiers gardent toujours leurs secrets
Rien à regretter quand on a 17 ans
Et un été, on peut le faire durer longtemps
Quand on a 17 ans
On a les yeux plus clairs, plus grands
Et on a la vie droit devant
C’est facile d’aimer quand on a 17 ans
Les pommiers gardent toujours leurs secrets
Rien à regretter quand on a 17 ans
Et un été, on peut le faire durer longtemps
Tant qu’on aura 17 ans
Tant qu’on aura 17 ans
Je noircis des cahiers
De mes jours auprès de toi
Chaque mot doux, chaque pas
Juste au cas où
J’oublierais tout
Si la nuit tombait sur mon cœur
Juste au cas où
J’écrirai tout
La soie de tes baisers
La mélodie de ta voix
J’écrirai tout juste au cas …
Juste au cas où
J’oublierais tout
Si la nuit tombait sur mon cœur
Juste au cas où
J’écrirai tout
Si par malheur
En moi tout de toi s’effaçait
À relire tous ces mots que j’écris
Je saurai qu’au plus beau de ma vie
On s’aimait
Juste au cas où
J’oublierais tout
Si la nuit tombait sur mon cœur
Juste au cas où
J’écrirai … nous
Pour ne pas oublier …
J’ai pas demandé d’être un symbole
Dessiné dans vos livres d’écoles
Entre les lignes d’un cahier
En graffiti presque effacé
Comme un enfant qui tend les mains
Je fait sourire vos lendemains
J’ai des images plein les yeux
A partager depuis longtemps
Et pourtant
Les voulez-vous vraiment
Sauvez mon âme
J’ai trouvé le chemin
Mais de vous, j’ai besoin
Pour aller plus loin
Sauvez-moi des flammes
Sauvez les racines sous mon arbre
Gardez mon nom dans vos prières
Comme si demain était hier
Souvent on oublie
Un prophète dans son pays
Laissez l’échelle à vos fenêtres
Que puisse chanter le troubadour
Vous le saviez déjà peut-être
Mais le poète est de retour
Laissez les belles aux yeux qui brillent
Eteindre le compte à rebour
Pour qu’à jamais le temps s’arrête
Que l’histoire dure pour toujours
Je suis venu vous faire la cour
En racontant mes peines d’amour
Je suis venu vous dire « je t’aime »
Avec des mots de tous les jours
Et pourtant
M’entendez-vous vraiment
Sauvez mon âme
J’ai trouvé le chemin
Mais de vous, j’ai besoin
Pour aller plus loin
Sauvez-moi des flammes
Sauvez les racines sous mon arbre
Gardez mon nom dans vos prières
Comme si demain était hier
Souvent on oublie
Un prophète dans son pays
J’ai suivi la trace le chemin
Qui me ramenait à vous
On est têtu faut croire, peut-être
Pour que cette fois c’est pour toujours
Comme un vieux frère, un ami
Qui au fond n’est jamais parti
Celui que vous avez vu naîtr
Et qui un jour s’est envolé
A gardé de vous toute la beauté
Sauvez mon âme
J’ai trouvé le chemin
Mais de vous, j’ai besoin
Pour aller plus loin.
NASHVILLE : Réalisation : Chad Carlson
Ingénieur du son et mixeur : Chad Carlson
Assistant : Todd Tidwell
Enregistré au Starstruck Studios et au Sound Emporium, Nashville TN
Mixé au Hippo Sound, Nashville TN
Assistante de Production : Juanita Copeland
Batteries : Greg Morrow
Basse : Mike Brignardello
Guitare acoustique, Mandoline, Banjo : Ilya Toshinskiy, Billy Panda
Guitare électrique : Kenny Greenberg, Rob McNelley
Piano, Orgue, Accordéon, Claviers : Tony Harrell
« Steel Guitar », Dobro : Dan Dugmore, Paul Franklin
Violon : Larry Franklin
Harmonica : Jim Hoke
Percussions : Eric Darken
Arrangement des Cordes et Cordes : Jonathan Yudkin
MONTRÉAL : Voix enregistrées au Studio Champagne, Lachenaie QC.
Réalisation : Marc Pérusse, Roch Voisine
Prise de son : Ghyslain-Luc Lavigne, Manuel Marie
Assistants : David Brodeur, Sylvaine Arnaud
Choeurs : Roch Voisine, Julie Leblanc, Lina Boudreau, Danny Boudreau et José Paradis
Mastering : Hank Williams, Mastermix à Nashville
(excepté Le Chemin par Richard Addison, Planet Studios à Montréal)