Comme une flamme
Que j’ai vu dans ton regard
Tu attises à nouveau l’envie de me voir
Comme un homme
Que rien emprisonne
Comme un homme
Qui vit et pardonne
Pardonne…
Comme un homme
Je retrouve la force d’aimer
Sur tes lèvres où s’endort nos baisers
Le désir s’est glisser dans mes pensées
Comme un homme
Rien ne m’emprisonne
Je defis la vie
Quand tu t’illumines
Quand je m’abandonnes
Comme un noble elixir
Je te bois, je te respire comme de l’air pur, comme un sérum
Je gravirai chaque mur, je gravirai les montagnes
Je te le jure, comme personne
Comme un homme…
Juste comme un homme..
Comme un homme (bis)
Que rien emprisonne
Comme un homme (bis)
Que rien emprisonne
Quand je m’abandonne
Comme un homme
Je resterai, aux cloches qui sonnent
Ton dernier rempart à la folie des hommes
Pas par bonheur
Devoir ou bravoure
J’inventerai nos heures au nom de l’amour
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s’en ira, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Je dormirai
Comme un soir de Noël
A rêver d’être le premier au réveil
Le premier reflet, dans ton oeil
Jusqu’au dernier danger
Ta route immortelle
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s’en ira, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Quand ils seront là, j’ouvrirai mes bras
Si puissants, que tout s’évanouira
Je dormirai là, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Quand tout s’en ira, je resterai là
Je dormirai là, je resterai là
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Je resterai là …
Il faut que tu me trouves, il faut que tu insistes
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Il faut que tu me prouves, que rien ne te résiste
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Dans mon labyrinthe d’ombres et de contraire
Si tu entres, sois sûre de toi
Des transparences meurtrières
Et si un à un, tu démêles les fils
C’est au centre de la toile
Que le vrai danger se profile
Il faut que tu me trouves, il faut que tu insistes
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Il faut que tu me prouves, que rien ne te résiste
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Et si tu me découvres, qu’aucun doute ne subsiste
C’est pourquoi j’ai brouillé les pistes
Il faut que je t’éprouve, en démon égoïste
Exorciste, et qu’enfin j’existe
Si tu me traques à travers mes mirages
Qu’une âme de plus pour une de tes cages
Je t’observe à n’en plus dormir
On ne peut plus me trahir, me trahir …
Il faut que tu me trouves, il faut que tu insistes
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Il faut que tu me prouves, que rien ne te résiste
Mais pour toi j’ai brouillé les pistes
Comme le dernier apache invulnérable
Je laisse des forces à chaque indice
Je me sais vaincu au bout de la piste
Au bout de la piste …
Fille d’un cygne qui danse
Dans sa robe de providence
Laisse un écrin dans mon âme
Comme ces victoires sur l’ennui
Et ces jours qu’on a écrit
En petit
Juste pour soi
Pour soi
Tout ces rêves privés
Toutes ces choses qu’elle ne verra jamais
Quand je ferme les yeux
Quand elle fait de son mieux
Si complice et pourtant, si secret
Mon amour ouvre la porte
Il faut que les diables sortent
Moi je reste à tes cotés
Pas de gros plan en arrières
Pour ces photos qu’on va faire
Serrés
Mais juste pour soi
Si je fais de toi ma reine
Mes souvenirs m’appartiennent
Pour toujours, jusqu’au dernier
Si la vie n’est que partage
La mémoire reste en otage
Qu’on ne délivre
Que juste pour soi
Juste pour soi, ni donner ni prendre,
Juste pour soi, ni voler ni rendre …
Pourquoi Les Dieux qui commandent sont si loin ?
Il manque une ligne dans ma main
Un peu de mon c?ur est à prendre
Et je veux faire bien
Mais j’apprends
Au delà des ombres, le chemin
La force qui monte et me soutient
C’est ton visage d’or et d’ange
Qui souffle sur le mien
La seconde chance
Depuis
J’ai grand ouvert la fenêtre
Je guette ta silhouette
Aux vents
Sans élan
Pour ma seconde naissance
Je saute dans la lumière
En avant
Pourquoi Les Dieux qui commandent sont si loin ?
Il manque une ligne dans ma main
Un coin de mon c?ur est en cendres
Et je veux faire bien
Et j’apprends
Je sèmes les graines de ta loi
Au dernier passage, au jour des rois
Je serais ton arbre et tes branches
Toi qui me donneras
La seconde chance …
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que dans un soir de doute
Tu reviennes
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que quelque part tu m’écoutes
Que ta peau, se souvienne
Si rien ne sait me suffire
Ni rester ni mentir
Si j’appelle ça un choix
Si “Cap Hornier damné” cherche avenir
Pour appartenir
Pour la première fois ?
Et si je t’appelle toi ?
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que dans un soir de doute
Tu reviennes
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que quelque part tu m’écoutes
Te dire … que je t’aime
A tout perdre, je garde l’espoir qu’un soir …
Gardien de ta mémoire
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que dans un soir de doute
Tu reviennes
J’ai l’espoir que ta route croise la mienne
Que quelque part tu m’écoutes
Te dire …
J’ai l’espoir que ta route cherche la mienne
Que dans un soir de doute
Tu reviennes
J’ai l’espoir que ta voix guide la mienne
Que tous nos rêves s’ajoutent, que ta peau
Se souvienne …
Que tu te souviennes …
La mer est dans mon corps
Comme un loup en cage
La terre est trop loin
J’ai fait tout ça pour rien
Toujours ce verre, et cette fille des trottoirs
Qui s’accroche à mon bras pour m’aider à boire
Le marin sans mémoire
A fini son histoire
Y’a des jours, y’a des souvenirs
Y’a des nuits, il vaut mieux en rire
Y’a des images
Et tu vois mourir les sirènes
Passer tes années lumières
Mourir les sirènes
Ne cache pas ta peine
Quand tu vois mourir les sirènes
Passer tes années lumières
Mourir les sirènes
Quand tu vois mourir les sirènes
Mourir les sirènes
Mourir les sirènes
Ne cache pas ta peine
Quand tu vois mourir les sirènes
Passer tes années lumières
Mourir les sirènes Ne cache pas ta peine
Ne cache pas ta peine
Deux gouttes d’eau dans la rivière
Qui se séparent bien avant la mer
Reste une prière
Je sais que tu m’entends
Je sais que tu m’entends
Au souffle du vent
Je sais que tu m’entends
Ça me rend fort
Des milliers d’heures heureuses
Pour la vie bien dangereuse
Et le prix fort, soudain
Reste pour moi
Les coups de gueule
Les éclats de rire, et si je suis seul
Je te sens si près, là-bas
Je sais que tu m’entends
Je sais que tu m’entends
Au souffle du vent
Je sais que tu m’entends
Je sais que tu m’entends
Ça me rend fort
Mais avant vous
Avant vos mains
Avant vous
Je n’avais rien
Avant vous
J’avais l’image
Des vagues tropicales
De courses larges
Sous d’immenses voiles
J’avais la trace des derniers voyageurs
Ces routes lasses
Aux yeux des rêveurs
Mais avant vous
Avant vos mains
Avant vous
Je n’avais rien
Avant vous
J’avais l’espoir
Et le doute aussi la peur de croire
Aussi grande que l’envie
Avant …
Avant vous
Avant vous
Je n’avais rien
Avant vous …
Mais avant vous
Avant vos mains
Avant vous
Je n’avais rien
Avant vous …
Plus on est près d´elle, on est loin
Loin de nos nuages
Nos si raisonnables destins
Suffit d´un rien, un geste de ses reins
Et s´arrête la raison qui nous tient
Commence alors une autre nuit sans fin
Son corps de feu se cambre et danse
Jusqu´au petit matin
Au son des guitares et des tambourins
Et des pieds frappant le sol
Et des mains frappant les mains
Et pour tous ces naufragés quotidiens
Elle est comme une bouffée d´air
Un phare, un lien, une lumière, un refrain
Dans nos vies lisses aux paradis lointains
Un peu d´amour sans blessure
Une aventure, un peu de magie qui revient
Obia….un mirage
Obia….sans cage
Avec les oiseaux, tu voyages
On ne sait pas d´où elle vient où elle va
Fille des mers des Antilles
Ou du soleil catalan
On ne sait jamais pour qui son cœur bat
Pour qui le soir ses yeux se maquillent
Et brûlent si souvent
Et pour ces naufragés du soir
Elle est comme une bouffée d´air
Un phare, un lien, une lumière, un espoir
Dans nos villes, aux plaisirs incertains
Un peu d´amour sans blessure
Une aventure, un peu de magie qui revient
Obia….un mirage
Obia….sans cage
Avec les oiseaux, tu voyages
Obia….un mirage
Obia….sans cage, sans cage
Obia féline sirène
Danse la joie, la peine
En rebelle soumise
Elle remet sa chemise
Et disparaît soudain
Obia….un mirage, sans cage
Obia….sans cage, un mirage, un mirage
Obia….
Avec les oiseaux, tu voyages
Obia
Et si un jour venait
Comme si sa se pouvait
Doucement
Plus devant
L’un pour l’autre
Et si
Nos mains se délassait
Si on se réveiller
Lentement, différent
L’un de l’autre
Qui saura les mots , qui Sauras garder l’amour qu’il faut
Comme un lendemain , Une évidence jamais perdu d’ avance
Qui s’auras les mots , Qui sauras aimer une fois de trop
Ce qu’on sera toi et moi
Et si
Et si on devenait
Le reve d’un monde
Qui née , grandissant
en même temp
L’un dans l’autre
Qui saura les mots , qui
Sauras garder l’amour qu’il
faut
Comme un lendemain, Une
évidence jamais perdu d’avance
Qui s’auras les mots , Qui sauras aimer une fois de trop ce qu’on seras toi et moi
Et si les mots pouvais
Et si on y croyais
Simplement