Hélène things you do
Make me crazy bout you
Pourquoi tu pars, reste ici
J’ai tant besoin d’une amie
Hélène things you do
Make me crazy bout you
Pourquoi tu pars si loin de moi
Là ou le vent te porte loin de
mon coeur
Qui bat…
Hélène things you do
Make me crazy bout you
Pourquoi tu pars, reste ici
Reste encore juste une nuit
Seul sur le sable
Les yeux dans l’eau
Mon rêve était trop beau
L’été qui s’achève, tu partiras
A cent mille lieux de moi
Comment t’aimer si tu t’en vas
Dans ton pays loin là-bas
Dans ton pays loin là-bas
Dans ton pays loin de moi
Et si un jour venait
Comme si sa se pouvait
Doucement
Plus devant
L’un pour l’autre
Et si
Nos mains se délassait
Si on se réveiller
Lentement, différent
L’un de l’autre
Qui saura les mots , qui Sauras garder l’amour qu’il faut
Comme un lendemain , Une évidence jamais perdu d’ avance
Qui s’auras les mots , Qui sauras aimer une fois de trop
Ce qu’on sera toi et moi
Et si
Et si on devenait
Le reve d’un monde
Qui née , grandissant
en même temp
L’un dans l’autre
Qui saura les mots , qui
Sauras garder l’amour qu’il
faut
Comme un lendemain, Une
évidence jamais perdu d’avance
Qui s’auras les mots , Qui sauras aimer une fois de trop ce qu’on seras toi et moi
Et si les mots pouvais
Et si on y croyais
Simplement
Donne-toi un peu de temps
Toi qui peux rêver si souvent
Garde-les en souvenir, tes rêves d’enfant
T’as rien à faire des militaires
Des châteaux forts et des trésors
Toi, tu fais s’arrêter les guerres
Petit ange quand tu dors
Tu seras jamais prisonnière
Des idées sombres et des remords
Toi tu fais chanter l’univers
Petit diable aux cheveux d’or
Donne-toi un peu de temps
Toi qui peux rêver si souvent
Tu mets des couleurs sur mes ans
Moi qui ne rêve plus autant qu’avant
Garde-les en souvenir, pour nous les grands.
Je resterai, aux cloches qui sonnent
Ton dernier rempart à la folie des hommes
Pas par bonheur
Devoir ou bravoure
J’inventerai nos heures au nom de l’amour
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s’en ira, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Je dormirai
Comme un soir de Noël
A rêver d’être le premier au réveil
Le premier reflet, dans ton oeil
Jusqu’au dernier danger
Ta route immortelle
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s’en ira, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Quand ils seront là, j’ouvrirai mes bras
Si puissants, que tout s’évanouira
Je dormirai là, je resterai là
J’attendrai, j’attendrai le temps qu’il faudra
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Quand tout s’en ira, je resterai là
Je dormirai là, je resterai là
Quand la nuit viendra, je dormirai là
Je resterai là …
T’as mis les voiles sur tous les ports
Où il s’en va, où il s’endort
Bien gardé, loin de toi, il s’envole
Sur un bout de papier noir
Bien calé dans ton vieux peignoir
Malgré les années, t’écris encore
T’as oublié ton chagrin
De n’avoir jamais pu aller plus loin
Qu’un boite à poster, là-bas dehors
T’as mis les voiles sur tous les ports
Où il s’en va, où il s’endort
Bien gardé, loin de toi, il s’envole
Ton idole
Su un bout de papier bleu
Un jour, il posera les yeux
Et pour un instant prendra le temps
De gratter sa guitare
Un soir où il sera très tard
Ecrira pour dire :”Parfois tu sais,
Je pense à toi… “
Qui as mis les voiles sur tous les ports
Sans être là, sans être à bord
Bien gardé, loin de toi, il s’envole
Ton idole…
Ton idole…
Ton idole…
Ton idole…
Ton idole…
Refrain … Avant de partir
Laisse-moi dormir Tout contre toi
Avant de partir
Que je te respire une autre fois
Avant de partir
Avant de te revoir
Je vivais sans histoire
Sans éclat, sans blessure
Puis tu m’as, pris en filature
Et planifier ma capture
Dans tes bras, ce soir-là
J’en voulais encore
Toi et moi
J’ai pas voulu croire
Qu’un jour ton amour ferait demi-tour
Refrain *2
Refrain
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
J’aimais t’imaginer cent fois m’embrasser.
J’nous imagine marcher sur tes plaines enneigées et le long d’la rue st-Jean,
Ta main je l’ai glissée doucement dans la mienne, à mon coeur brûlant.
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
Je ferai l’inverse, 3 cafés noir, en béton armé
Et un million de pont enneigés Montréal-Québec.
On va se compter des tas d’histoires,
J’vais oublier mes idées noire.
J’vais pouvoir vivre, pouvoir y croire.
Il y’a le vent qui rallume ton parfum
Et mon désire aux creux de tes mains.
Et ton château princesse, qui tremble de ses remparts.
La distance qui nous sépare,
Je la ferai en deux heure moins quart,
J’arrive, j’suis là, je reste.
J’veux jamais que ça s’arrête Montréal-Québec,
Montréal-Québec
Montréal-Québec
Et tant pis
Si je me détruis
Et je fais le tour
De tes mots
Tes promesses et
tes envies
d’ailleurs
Et tant pis
Si tu m’interdis
D’être pour toi
L’unique objet du désir
Même obscur
Et fier ou non
Là n’est pas la question
Et je n’attends
rien de tes
ombres, tes
efforts
J’ai pris au
soleil le feu qui
manque à ton corps
Et perdu ton âme à l’horizon
Et tant pis
Si je me détruis
Et je fais le tour
De tes mots
Tes promesses et
tes envies
d’ailleurs
Et tant pis
Si tu m’interdis
D’être pour toi
L’unique objet du désir
Même obscur
Je m’attends à
tout sauf à toi
Je ne t’aurai jamais
Que pour moi
Et quand j’y crois
Ton cœur n’ose pas
Alors tant pis
Si je me détruis
Et je fais le tour
De mes mots
Mes faiblesses
Et mes envies d’ailleurs
Tant pis
Si tu m’interdis
D’être pour toi
L’unique objet
De ton désir
Je reste pur
Malgré mes blessures.
Au temps des légendes anciennes
Avant que l´homme blanc ne vienne
Vivait une jeune orpheline
Un jour une flamme trop vive
Que le vent souffla de la rive
Lui vola sa beauté divine
Ce cri résonna dans la plaine
La terre et le vent se souviennent
De son courage et de sa peine
Elle s´appelait “Oo…chigeas”
Oo…chigeas
Dans un des villages voisins
Vivait un prince magicien
Qui fit la promesse impossible
D´unir sa vie et son histoire
A celle qui saurait le voir
Lui, que l´on savait invisible
Toutes les filles du village
Ne virent là-bas que son mirage
Et la seule à voir son visage
Elle s´appelait “Oo…chigeas”
Oo…chigeas
Au temps des légendes anciennes
Avant que l´homme blanc ne vienne
Vivait une orpheline indienne
Oochigeas
Oochigeas
Oochigeas
Oochigeas
Au temps des légendes anciennes
Avant que l´homme blanc ne vienne
Vivait une orpheline indienne
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là dancer se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas :
« Tu peux compter sur moi. »
Laisse-là partir
Oublie le temps qui passe
Souviens-toi qu’à son âge
La vie est un beau grand voyage
Laisse-là partir
Mais dis-lui que tu l’aimes
Sans trop la retenir
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là danser se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas : « Tu peux compter sur moi. »
Laisse-là rêver à sa façon
Laisse-là danser se bercer d’illusion
Briser son cœur pour un garçon
Un oui ou un non
Laisse-là monter jusqu’aux étoiles
Et si elle retombe et se fait mal
Tends-lui les bras
Dis-lui tout bas : « Tu peux compter sur moi. »
Toi et moi on arrêtait le temps quelquefois
Sans demander comment ni pourquoi
On se retrouvait là
Toi et moi on a fait le vœu au départ
Loin des feux et des étendards que rien ne nous séparent
I’ll always be there…
Malgré la peur de se brûler les ailes
I’ll always be there…
Malgré la peur de retomber du ciel
I’ll always be there…
Tant qu’il y aura dans nos cœurs une flamme éternelle
Je te serai fidèle
Toi et moi on unira nos voix et à deux
Quels que soit nos rois ou nos dieux
On se gardera le droit d’être heureux
Toi et moi on les oubliera pour toujours
Les grands et les beaux discours
Qui ne parle pas d’amour
I’ll always be there…
Malgré la peur de se brûler les ailes
I’ll always be there…
Malgré la peur de retomber du ciel
I’ll always be there…
Tant qu’il y aura dans nos cœurs une flamme éternelle
I’ll always be there…
Malgré la peur de se brûler les ailes
I’ll always be there…
Tant qu’il y aura dans nos cœurs une flamme éternelle
I’ll always be there…
Malgré la peur de retomber du ciel
I’ll always be there…
Jusqu’au dernier jour nous on restera fiers et rebelles
Je te serai fidèle
Je te serai fidèle
Je te serai fidèle…
{Refrain:}
Darlin’
Dans ta ville américaine
Darlin’
Tu m’as mis en quarantaine
Darlin’
Et quand tu m’entraînes
Je ne suis Darlin’
Plus le même
T’auras tout fait pour me plaire
Tu fais monter les enchères
Dis-moi Darlin,
Où ça nous mène
Pourquoi tant de mise en scène
Et pourquoi jouer les sirènes
Tu sais Darlin’
C’est pas la peine
{Refrain}
Darlin’
Dans ta ville américaine
Darlin’
Tu m’as mis en quarantaine
Darlin’
Et quand tu m’entraînes
Je ne suis Darlin’
Plus le même
Je pensais bien tout savoir sur
L’amour et ses rengaines
Et je me croyais tellement sûr de moi
Mais ces yeux-là que tu promènes
Sur moi comme des gestes obscènes
Tu le vois bien
Darlin’ que tu me gênes.
Sur ta photo un peu blême
Je nous voyais en tandem
Ta main Darlin’
Dans la mienne
Sous tes allures un peu mondaines
Et tes manières à l’ancienne
Qui sait Darlin’
Qui tu aimes
Qui sait Darlin’
Si tu m’aimes
Qui sait Darlin’
Qui tu aimes…
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
J’aimais t’imaginer cent fois m’embrasser.
J’nous imagine marcher sur tes plaines enneigées et le long d’la rue st-Jean,
Ta main je l’ai glissée doucement dans la mienne, à mon coeur brûlant.
Il y a le vent qui rallume ton parfum
En souvenir aux creux de mes mains.
À ton château princesse, j’appelle à tes remparts.
La distance qui nous sépare
j’la ferais en deux heure et quart.
Prie pour qu’la route soit belle
Et que rien ne m’arrête Montréal-Québec.
Je ferai l’inverse, 3 cafés noir, en béton armé
Et un million de pont enneigés Montréal-Québec.
On va se compter des tas d’histoires,
J’vais oublier mes idées noire.
J’vais pouvoir vivre, pouvoir y croire.
Il y’a le vent qui rallume ton parfum
Et mon désire aux creux de tes mains.
Et ton château princesse, qui tremble de ses remparts.
La distance qui nous sépare,
Je la ferai en deux heure moins quart,
J’arrive, j’suis là, je reste.
J’veux jamais que ça s’arrête Montréal-Québec,
Montréal-Québec
Montréal-Québec