Alone, je suis un rêve sur cette terre
Parfois je sais ce que je suis un voyageur de l’éther
Solitaire, sans repère et sans abri, qui te suit
J’ai besoin de toi, entends ma voix, je te suivrai tel que je suis
A long way from home, comme tous ces hommes désarçonnés
Je suis un cowboy virtuel, comme une chanson à la radio
Un mirage habituel, un écho
Je vis ma vie comme elle se donne, pris au lasso des heures qui sonnent
Je suis ta route, je fuis le doute, j’espère en toi
J’ai besoin de toi, entends ma voix, je te suivrai tel que je suis
A long way from home, comme tous ces hommes désarçonnés…
J’ai besoin de toi où que tu sois, je te suivrai tel que je suis
A long way from home, comme tous ces hommes désarçonnés
J’ai besoin de toi, entends ma voix, je te suivrai tel que je suis
A long way from home, comme tout ces hommes désarçonnés
Elle est ma tendresse
Elle a mon amour
J’veux pas qu’on la blesse, oh non
J’veux personne autour
Elle est mon espace, mon identité
Le vrai dans la glace
Quand j’veux me regarder
J’apprendrai les couleurs qui tissent les étoiles
Je remplirai son coeur de tout c’qui fait pas mal
J’arrêterai le temps quand elle voudra grandir
Pour elle je ferai en grand tout ce qu’elle n’ose pas dire
Et qui posent le beau sur un amour intense
J’lui donnerai du soleil avec du bleu immense
Pour pas qu’elle se réveille du côté du silence
Elle est ma tendresse
Elle a mon amour
J’veux pas qu’on la blesse, oh non
J’veux personne autour
Elle est mon espace, mon identité
Le vrai dans la glace
Quand j’veux me regarder
Elle est l’étrange certitude
Le manque qui empêche de rêver
Pour tous ceux qui s’aiment par habitude
Et qui s’appartiennent à moitié
Elle est ma tendresse
Elle a mon amour
J’veux pas qu’on la blesse, oh non
J’veux personne autour
Elle est mon espace, mon identité
Le vrai dans la glace
Quand j’veux me regarder
Si tu t’en vas
Demande à la poussière
De recouvrir tes pas
D’effacer tes repères
Le jour où tu t’en vas
Demande à la poussière
Où trouver le mystère
Pour se passer d’hier
Ne pas douter de toi
Tu ne veux plus d’une vie
Qui n’te laisse pas le choix
Où tout est trop petit
Où plus rien n’est fait pour toi
Toi tu veux la lumière
L’océan outre-mer
Les étendus de ciel
Prendre avec insolence
La belle indifférence
De chaque jour qui commence
Si tu t’en vas
Demande à la poussière
De recouvrir tes pas
D’effacer tes repères
Le jour où tu t’en vas
Demande à la poussière
Où trouver le mystère
Pour se passer d’hier
Ne pas douter de toi
C’est ton grand rêve qui s’avance
Et tu ne fermeras pas les yeux
Un dernier mot glissé
Sous la porte d’entrée
Avec tous tes regrets
Si tu t’en vas
Demande à la poussière
De recouvrir tes pas
D’effacer tes repères
Le jour où tu t’en vas
Demande à la poussière
Où trouver le mystère
Pour se passer d’hier
Ne pas douter de toi
Demande à la poussière
La force, le secret
Pour apprendre à laisser
Savoir changer de voie
Demande à la poussière
De recouvrir tes pas
D’effacer tes repères
Le jour où tu t’en vas.
L’irrésistible
La force tranquille
L’amour en raccord
En coeur et en corps
Irrésistibles
Joints par un fil
La peau de l’âme
La flamme
C’est le vrai entre toi et moi
C’est le destin qui nous lie, la foi
Qu’irrésistiblement
Nous on s’aime, s’aime et s’aimera longtemps
J’ai compris
Que pour la vie
You will always be
L’irrésistible
La force tranquille
L’amour en raccord
En coeur et en corps
Irrésistibles
Joints par un fil
La peau de l’âme
S’enflamme
Sans jamais craindre les hivers
Emportés dans la lumière
L’irrésistible
La force tranquille
L’amour en raccord
En coeur et en corps
Irrésistibles
Inséparables
Inséparables.
J’attends…
Le coeur invalide
Dans une chambre vide
J’attends
Je l’attends
Le coeur immobile
L’amour inutile
J’attends
Londres, New York ou Paris
C’est pareil, c’est pareil, c’est pareil, c’est pareil
Midi, minuit jour et nuit
Sans repos et sans sommeil
Mon courriel, mon téléphone
Moi, sans elle, je ne suis personne
Et j’attends…
Le coeur invalide
Dans une chambre vide
J’attends
Le coeur immobile
L’amour inutile
Dans un centre ville
Je perds l’équilibre
Je ne suis pas libre
D’aimer…
Je l’attends
Le coeur invalide
Dans une chambre vide
J’attends
Le coeur immobile
L’amour inutile
J’attends
Je l’attends
Mon coeur prend des rides
Mes rêves s’oxydent
lentement
Oui je sais
Reste la douleur et la peine
De ces nuits qu’on n’attendait pas
Et les jours sans ta voix
J’apprendrai à te dire les mots qui font la belle illusion
Si tu savais rester
Mais ce qu’il me reste
L’envie d’y croire encore
L’oublie de corps en corps
La peur de voir le feu qui brûle dans tes yeux
L’envie d’y croire encore
De me jeter un sort
L’envie de voir un peu
Ce qu’il me reste, reste de nous deux
Il t’emmène
C’est l’enfer qui se dessine
Et vos corps qui font l’amour
Ma nuit vaut le jour
Oui je sais
J’aurais dû lire entre les lignes
J’ai marché les yeux fermés
Et je suis tombé
J’apprendrai à te dire les mots qui font la belle illusion
Si tu savais rester
J’ pourrais retrouver
L’envie d’y croire encore
L’oublie de corps en corps
L’envie de voir le feu
Qui brûle dans tes yeux
L’envie d’y croire encore
De me jeter un sort
L’envie de voir un peu
Ce qu’il reste, reste de nous deux
Juste envie d’y croire
Envie de voir
Juste envie d’y croire
Envie de voir
L’envie d’y croire encore
L’oublie de corps en corps
L’envie de voir le feu qui brûle dans tes yeux
L’envie d’y croire encore
De me jeter un sort
L’envie de voir un peu
Ce qu’il reste, reste de nous deux
Ce qui reste de nous deux
Ce qu’il me reste de nous deux
Il a fallu qu’on s’aime
Nos vies un peu moins vaines
Je voulais si peu
Sans doute un peu trop pour toi
Aujourd’hui tu vois
Doucement je me noie
Dans l’océan de peine
Il suffirait de si peu je crois
Juste d’un sourir venant de toi
Il suffirait qu’ensemble on y croit
Pour que se vide enfin et se vide à jamais
Cet océan de peine
Où nos vies se démènent
J’oublierai si tu m’aimes
Cet océan de peine
Un océan de peine
Et c’est ma vie qui saigne
Et voilà tout
Ce qui reste après nous
Et voilà surtout
Où je sombre sans nous
Un océan de peine.
Toi mon amour, toi ma douleur
Des champs du coeur, le moissonneur
Notre vie est si légère
Et les amours amères
Garde la trace de ces adieux
Qui dans le coeur laissent des bleus
Un peu de vent dans mes cheveux
Un bungalow abandonné
C’est une histoire de gens heureux
Qu’un jour la mer a emportés
Est-ce un murmure, une demande ?
Ou le bruit de l’océan
Qui va se perdre sur la lande ?
Ou est-ce le rire d’un enfant ?
Toi mon amour, toi ma douleur
Des champs du coeur, le moissonneur
Notre vie est si légère
Et les amours amères
L’éclair salé s’est reposé
Là sur ma peau comme un aveu
Je t’aime oui mais ce que je veux
C’est juste un peu d’éternité
Toi mon amour, toi ma douleur
Des champs du coeur, le moissonneur
Notre vie est si légère
Et les amours amères
Garde la trace de ces adieux.
Tu t’en iras comme un silence
Comme une page sans écrit
Un ridicule pas de danse
Comme une excuse un non-sens
Comme un silence où tout est dit
Tu t’en iras
Tu t’en iras comme une étoile
Comme les espèrent les rois
Comme une nuit qu’un matin pâle
Pas à pas ne remplace pas
Sans que l’on sache bien pourquoi
Et moi j’aurai froid
Moi j’aurai froid
Moi j’aurai froid
Tu t’en iras comme une image
La fin du film au cinéma
Quand on rallume dans la salle
Et qu’on reste assis sans courage
Et quand le vrai reprend ses droits
Et moi je veux pas
Et moi j’aurai froid
Julia
C’est si pâle dans mes rêves
Julia
J’ai toujours mal de toi
Julia
Il neige sur ma peine
Julia
Pourquoi je n’oublie pas
Léo Ferré et le temps qui délave
Où tout va, tout s’en va
Et ces douleurs qui nous rendent sage
Ne me concerne pas
J’ai tout essayé, tout brisé
Pour effacer la page
Mais j’ai si peur d’oublier
De sortir de ta cage
Julia
C’est si pâle dans mes rêves
Julia
J’ai toujours mal de toi
Julia
Il neige sur ma peine
Julia
Pourquoi je n’oublie pas
Julia oh ! Dis-moi la manière
Julia pour exister sans toi
Julia si t’aimer c’est me taire
Julia je le ferai pour toi
Ce soir plus rien ne nous dérange mon ange
Même s´il nous faut fuir la ville
La jalousie est une arme qui tranche
Mais elle n´existe pas ici
Ne me dis rien, fais-moi seulement confiance
Un amour si fort ne meurt pas
Il fleurira au paradis mon ange
Mais reste serré contre moi
Je ne veux plus te voir pleurer mon ange
Un ange ça ne pleure pas
Je t´emmène où la vie est une danse
Laisse-toi guider par mes pas
Ne fais rien, fais-moi seulement confiance
Un amour si fort ne meurt pas
Il fleurira au paradis mon ange
Mais reste serré contre moi
Ne laisse rien même si ça les dérange
Du bonheur qu´ils veulent nous voler
Personne ne nous séparera mon ange
Je t´aime pour l´éternité
Personne ne nous séparera mon ange
Je t´aime pour l´éternité
Vingt ans
Le droit de changer d’avis
Le désir en somme d’aller séduire
Des filles à l’infini
Tous les parfums qui enivrent
L’effet mer qui prend et chavire
Les lèvres auxquelles rien ne résiste
L’instant pour lequel on existe
Ah ! les baisers faciles
Loin déjà ah ! , les baisers faciles
Un soir
L’ombre d’un doute s’installe
Toutes les bouches se valent
Le film est banal
Vouloir
Pouvoir s’ouvrir comme avant
Pour celle qu’on aimera longtemps
Avoir deux fois vingt ans
Les lèvres auxquelles rien ne résiste
L’instant pour lequel on existe
Ah ! les baisers faciles
Loin déjà ah ! , les baisers faciles
De temps en temps c’est normal
Ma nostalgie en chamaille
Ah ! les baisers faciles
Loin déjà ah ! , les baisers faciles
Les étoiles qui brillent
Ah ! les baisers faciles
Sauve-moi ah ! , Des baisers faciles
Ses enfants naissent, et vivent
Et passent
Aux sourires habillés de crasse
Kibera non rien ne t’efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n’ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera, si forte au fond de moi
C’est une immense étendue d’âmes
Quelques millions d’hommes et de femmes
Une île aux portes de la ville
Où même l’ombre est inutile
Aux jours de chaleur et de flammes
Et moi qui suis venu d’en face
Moi qui n’étais pas à ma place
Kibera, non rien ne t’efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n’ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera, si forte au fond de moi
Xallé Wroule Djoye
Xallé Waroulle xiff
Wanté gnomme gni ngni ré
Ses enfants naissent, et vivent
Et passent
Aux sourires habillés de crasse
Kibera non rien ne t’efface
Kibera, Kibera
Il y a le feu qui brûle en toi
Kibera, Kibera
Ce feu que les autres n’ont pas
Kibera, Kibera
Tu mêles la peine à ta voix
Kibera, si forte au fond de moi