Une étoile contre la nuit
Dressée contre les temps
Un rêve qui s’est tue et pourtant
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
On a souvent échoué et traversé des océans
(Ohhh, oh oh)
Trop souvent encore, nos cœurs et sans vraiment qu’on y pense
Sans vraiment qu’on y pense (Ohhh, oh oh)
(Ohhh, oh oh)
Ce phare est sans lumière
La mer est le repère
Comme tous ces gens perdus sur terre
Contre l’assaut du vent
Contre l’assaut des dunes
Dans l’inconstant et l’habitude
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
On a souvent échoué et traversé des océans
Trop souvent encore, nos cœurs et sans vraiment qu’on y pense (Ohhh, oh oh)
En attendant le vague à l’âme de nos existences (Ohhh, oh oh)
Mais qui s’élève, tempête
Mais qui s’élève, falaise
Et qui nous fait tourner la tête
Dis-moi pourquoi
Pourquoi
Et dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
Dis-moi pourquoi
On a souvent échoué et traversé des océans
Trop souvent encore, nos cœurs et sans vraiment qu’on y pense (Ohhh, oh oh)
En attendant le vague à l’âme de nos existences
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
Dis-moi pourquoi (Ohhh, oh oh)
Je suis un Phare
Il y a des jours qui sont passés
Il y a des nuits qui ont brûlé
Il y a des mois, des années
Il y a de l’eau qui a coulé
Des ciels qui ont changé
Il y a des mois, des années
Mais il y a toujours une chanson
Un parfum dans la maison
Toujours ce que, tu préfères
Dans l’air…
Appelle-moi encore et de temps en temps
Rappelle-toi comme on était vivants
Appelle-moi, ça me ferait plaisir
Souviens-toi des plus beaux souvenirs
Tout me ramène à toi, tout me ramène à toi
Tout, tout l’temps
Il y a des fronts qui ont soufflé
Du sable qui a volé
Il y a de ça, des années
Il y a des pages qu’on a tournées
Des routes qu’on a tracées
Il y a de ça, des années
Mais il y a toujours une chanson
Un parfum dans la maison
Toujours ce que, tu préfères
Dans l’air…
Appelle-moi encore et de temps en temps
Rappelle-toi comme on était vivants
Appelle-moi, ça me ferait plaisir
Souviens-toi des plus beaux souvenirs
Tout me ramène à toi, tout me ramène à toi
Tout, tout l’temps
Tout me ramène à toi, tout me ramène à toi
Tout, tout l’temps
Tout, tout l’temps
Appelle-moi encore et de temps en temps
Rappelle-toi comme on était vivants
Appelle-moi, ça me ferait plaisir
Souviens-toi des plus beaux souvenirs
(x2)
Tout me ramène à toi, tout me ramène à toi
Tout, tout l’temps
Regarde,
Ça ne tient à rien, une vie
Un autre chemin
Regarde
Qui je deviens, quand tu reviens entre mes mains
Regarde,
Tu me donnes des ailes
Je rêve, d’un autre soleil,
Regarde
Qui je deviens, quand tu reviens
Quand j’y pense, je nous vois au bord de la mer
J’ai le cœur qui bat
Quand je danse dans tes pas, j’aime ces moments là
D’une vie plus légère
C’est la nuit, et le vent souffle un feu d’enfer
Embrasse moi souvent
Le bonheur, c’est l’instant qui s’accélère
Regarde,
Ça ne tient à rien, une vie
Un autre chemin
Regarde
Qui je deviens, quand tu reviens entre mes mains
Regarde
Tu me donnes des ailes
Je rêve, d’un autre soleil
Regarde
Qui je deviens, quand tu reviens
Regarde
Ca ne tient à rien, une vie
Un autre chemin
Regarde
Qui je deviens quand tu reviens
Regarde, ça ne tient à rien une vie
Un autre chemin, regarde
Qui je deviens quand tu reviens
Regarde
Tu me donnes des ailes
Je rêve, d’un autre soleil
Regarde
Qui je deviens quand tu reviens
Regarde
Regarde
Regarde
On cherche d’autres frontières
D’autres ailleurs mieux qu’ici
De nouveaux points d’ancrage
Des bouts de paradis
De belles chimères
On passe
D’un paysage à l’autre
D’une victoire à une faute
On chasse
Les nuages, les tempêtes
Qui planent sur nos têtes
Comme au cinéma
La vie défile comme ça
On se recrée des mondes
Des morceaux de banquise
Où l’on dérive d’amour
Jusqu’à ce que tout se brise
Que le ciel tombe
On se sort des décombres
Avant que tout se fige
Demain un autre jour
Nous donnera le vertige
Loin de nos ombres
On passe
D’un paysage à l’autre
D’une victoire à une faute
(Tout comme au cinéma)
On chasse
Les nuages, les tempêtes
Qui planent sur nos têtes
(Tout comme au cinéma)
On passe
D’un paysage à l’autre
D’une victoire à une faute
(Tout comme au cinéma)
On chasse
Les nuages, les tempêtes
Qui planent sur nos têtes
Comme au cinéma
La vie défile comme ça
Comme au cinéma
Devant nous l’inconnu d’une vie qui commence
Derrière nous notre enfance pleure
Devant nous le vertige, le saut de l’ange, le passé qui fige
Derrière nous les beaux jours meurent
On a tellement attendu ce jour,
Sortir dans la cour
On a tellement rêve de nos rêves
Comme de bons élèves
Et nous voilà déjà demain
Déjà trop loin
Puisque chacun va prendre un chemin
De vous prenez soin
Tiendrons nous toutes nos promesses de jeunesse ?
Au fil des années
Dites moi ce qu’on garde ou laisse dans l’ivresse
Que la nouveauté
(Devant nous, devant nous)
Derrière nous des histoires
Des amours de couloir
Devant nous blanc de mémoire
On a souvent parlé de ce jour
Tourné autour
On a souvent grandi dans ce rêve
De n’plus être élève
Et nous voilà au pied de demain
Lâchant nos mains
Ne sachant plus quel est le chemin
De qui prendre soin
Tiendrons nous toutes nos promesses de jeunesse ?
Au fil des années
Dites moi ce qu’on garde ou laisse dans l’ivresse
Que la nouveauté
(Devant nous, devant nous)
Souviens toi de ma promesse ma jeunesse
Dans quelques années
Le coeur à la même adresse, la tendresse
De se retrouver
(Devant nous) Devant nous
(Devant nous) Devant nous
(Devant nous) Devant nous
Nos combats, nos délires et nos désirs, nos combats
Nos passés, nos avenirs, nos amours, nos combats
Nos déboires, nos victoires, connus dans la mémoire
Nous faisons l’histoire
On a beau chercher, tour à tour
La puissance, la fortune et la gloire
Mais le plus beau combat reste l’amour
L’amour, sa raison et sa loi
Et nous vaincrons comme des soldats, pas à pas
Nos combats, nos délires et nos désirs, nos combats
Nos passés, nos avenirs, nos amours, nos combats
Nos déboires, nos victoires, connus dans la mémoire
Nous faisons l’histoire
Tous les combats de ma jeunesse
Je ne les renierai jamais
(Nos combats)
Nos combats, nos délires et nos désirs, nos combats
Nos passés, nos avenirs, nos amours, nos combats
Nos déboires, nos victoires, connus dans la mémoire
Nous faisons l’histoire
Elle, elle se pend a son téléphone
Elle, elle se prend à tous les égos
Elle, elle se perd dans sa vie un peu folle
Seule, sa vie qu’elle donne trop
Est-ce un ange, est-ce un démon, élémentaire
Mélange de pouvoirs et d’illusions, imaginaire
Elle voit le monde au gré des regards
Comme le font toutes les stars
Qu’elle tutoie pour la plupart
Elle, préfère les histoire tristes a mourir
Elle, comme si son bonheur en dépendait
Elle, elle veut l’amour puis veut le détruire
Seule, comme si ça s’oubliait
Est-ce un ange, est-ce un démon, élémentaire
Mélange de douceur et de passion, particulière
Elle voit le monde au gré des regards
Comme le font toutes les stars
Qu’elle tutoie pour la plupart
Elle, elle s’endort dans son château fort
Seule, à rêver, qu’elle vie un conte de fée
Elle, s’endort dans son château fort (parfois sur mon corps)
Seule, à danser depuis toutes ces années
Elle est, belle, a nul autre pareil
Elle est, bien calée dans son grand fauteuil
Belle, lèvres couleur de groseille
On fumait dans son bureau
C’est un ange, c’est un démon
C’est nécessaire
A la fois un peu caméléon, et terre-à-terre
Elle voit le monde au gré des regards
Comme le font toutes les stars
Qu’elle tutoie pour la plupart
Tous ces anges, tous ces démons (sous-locataire)
Elle les connait tous par leur prénom (du savoir-faire)
Elle vie le monde au gré des histoires qu’elle invente un peu chaque soir
Au gré de ses idées noires
Bien sur j’ai connu des impairs
Des matins glacés, de misère
J’ai eu mes doutes mes frissons
Mais rien pour vous faire, une chanson
Tout va bien, tout va bien
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire
Très serein, très serein, c’est ainsi
Trop heureux pour souffrir
Je vais quand même pas mentir ma vie
M’inventer des démons, des folies
Pleurer faux du soir au matin
Pour vous trouver le parfait refrain
Tout va bien, tout va bien
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire
Très serein, trais serein, c’est ainsi
Trop heureux pour souffrir
Tout va bien, tout va bien
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire
Très serein, trais serein, c’est ainsi
Trop heureux pour souffrir
Tout va bien, tout va bien
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire
Très serein, trais serein, c’est ainsi
Trop heureux pour souffrir
(Tout va bien) aujourd’hui
Trop heureux pour souffrir
Et toi tu as les dieux bleus
Et moi les dieux marron
Serait-ce vraiment l’enfer si nos enfants avaient les dieux verts
Tout l’univers a feu
Faisons-nous les yeux doux
Et les dieux dans les yeux, regarde en moi, regardons nous
Imagine ne serait qu’une seconde, que tout l’amour qu’on fait
se réponde à travers le monde et rayonne a jamais
Imagine que les hommes, un beau jour et a risque
Il n’y a en somme pas d’évidence, juste des croyances
Et toi tu as les dieux bleus
Et moi les dieux marron
Serait-ce vraiment l’enfer si nos enfants avaient les dieux verts
Tout l’univers a feu
Faisons-nous les yeux doux
Et les dieux dans les yeux, regarde en moi, regardons nous
Regarde-moi, regardons-nous
Sans préjugés et sans tabous
Dans la lumière et jamais seuls
Face à la peur et les écueils
C’est toi et moi et puis c’est tout
Regarde-moi, regardons-nous
Et toi tu as les dieux bleus
Et moi les dieux marron
Serait-ce vraiment l’enfer si nos enfants avaient les yeux verts
Tout l’univers a feu
Faisons-nous les yeux doux
Et les dieux dans les yeux, regardons nous, regardons nous
Et toi tu as les dieux bleus
Et moi les dieux marron
Serait-ce vraiment l’enfer si nos enfants avaient les yeux verts
Tout l’univers à feu
Faisons-nous les yeux doux
Et les dieux dans les yeux, regardons nous, frère
Regarde
Regarde
Regarde, regarde en nous
J’veux pas vieillir
J’voudrais retourner en arrière
Ce serait moins pire
Que de m’vouir ternir à p’tit feu
Et qu’on me dise
Que la vie nous apprend à être vieux
Comme se mentir
J’veux pas partir
J’veux pas vieillir
Je veux la vie là devant moi
San être pressé
Sans ride et sans rien à cacher
Sans trop souffrir
Sans voir mes amis me quitter
Et puis mourir
J’veux pas vieillir
J’veux pas vieillir
Mais courir avec mes petits
Sans trop souffrir
Les voir grandir l’esprit tranquille
Et puis leur dire
Qu’ils s’ront heureux comme moi utile
J’veux pas vieillir
J’veux pas partir
J’veux pas vieillir
J’veux encore voir le monde changer
Même pour le pire
Mes voir sourire les voir chanter
Et applaudir
Ne pas voir le spectacle se terminer
Les gens partir
J’veux pas vieillir
J’veux pas vieillir
Mais courir avec mes petits
Sans trop souffrir
Les voir grandir l’esprit tranquille
Et puis leur dire
Qu’ils s’ront comme moi petit
J’veux pas vieillir
J’veux pas partir
J’vais pas vieillir
Retourner sur les genoux de mon père
Les samedis soir durant l’hiver
Jouer à cachette en cour d’école
Jouer à me prendre pour mes idoles
Jouer au hockey dans mon quartier
Aimer l’hiver autant qu’l’été
Retrouver l’esprit de noël
Tous mes souvenirs et mes chandelles
J’veux pas vieillir
Trouver une cabane dans les bois
Enfermer et ??
J’veux pas partir
J’veux pas mourir
J’veux pas vieillir
Mais courir avec mes petits
Sans trop souffrir
Les voir grandir l’esprit tranquille
Et puis me dire
Qu’ils seront mieux que moi petit
J’veux pas vieillr